Une mer d'olivier ?
Impossible de l'imaginer avant de la voir de ses propres yeux, des oliviers à perte de vue, aux portes du désert, à 360°, comme sur un îlot, voici la mer d'olivier qui nous entoure... On est à l'Office des terres domaniales de Chaal, près de Sfax en Tunisie, 25000 hectares d'oliviers, la plus grande exploitation du pays, qui contribue à protéger les terres de la désertification.
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Il y a quelques temps je suis allé pour le Figaroscope, faire un tour du côté des Buttes Chaumont... Voici le relevé des copies...
Si vous ne connaissez pas ce lieu de rendez-vous parisien, autant vous parlez un petit peu avant. Lorsque, la bouche en cœur, j’ai claironné que j’y allais avec mes enfants, une jeune femme charitable m’a pris le bras pour m’emmener en retrait et me prévenir que ce n’est pas tout à fait l’endroit idéal pour cela. J’irai quand même, ai-je trompeté tout bas, mais un peu plus tôt. Pour tout avouer, le monde me fait peur, il me contracte et me rétracte. Dès qu’il y a plus de quatre personnes à table, je me mets à sangloter de terreur. Aussi, la bonne idée, c’était d’y aller tôt, comme cela on serait seul au monde, tranquille, pénard, le service pour nous tout seul, les petits zoizeaux déposant des couronnes de fleurs sur la compagnie. A 19h15, nous étions à pied d’œuvre, autant dire l’heure royale dans les restaurants. Le parc était animé par cette belle soirée de juin, et quelques sportifs faisaient les lettres de l’alphabet sur les rambardes. Au lointain, on sentait comme un tumulte. Ça c’est la cascade que je dis. Personne pour me contredire, sauf que nous sommes passés devant une cascade, et celle-ci faisait un bruit d’eau pressée. Pas de foule. Donc.
Devant. En effet, devant la délicieuse bâtisse, il avait comme un tapis. Pas de pâquerettes, mais de gens. C’était noir de monde. Par bouillons, grappes, chenilles, caillots, conglomérats (on continue ?) stock, étagère…Bref, pour vos beaux yeux, il fallait bien y aller, traverser le matelas. J’ai mis le matériel précieux de côté sur une table neutralisée par la musique à donf, et j’ai fait la queue pour accéder aux victuailles.
La foule. Bof, pas besoin de faire un long discours, des visages à deux centimètres de vous, puis à dix, à quinze, à un. Cela dit, j’aurais été tout seul, que j’aurais tapé des mains et des pieds. Il y a sans doute le catalogue humain le plus varié de Paris. Logiquement, on doit trouver (magasins de) chaussures à son pied. L’atmosphère est enjouée, en fait désireuse de tout (de la suite, notamment) . Vous êtes à Dragueland avec regards, postures (on évitera de faire tomber deux fois son porte-monnaie) et conversations hyper joyeuses.
La nourriture. Sincèrement, n’attendez pas de ces lignes un tir au pigeon, car ce sont des en-cas (style tapas) avec crèmes d’artichauts, tarama aux oursins, jambon serrano, muffin,…servis en petite barquette de traiteur. Ce n’est pas mauvais mais totalement accessoire. En fait, on est venu ici boire un coup, deux, trois, quatre, cinq, six,sept, huit, neuf, dix. Le bon plan, c’est de venir avec ses munitions et s’installer sur les pelouses avoisinantes.
MAIS ENCORE…
Le service. Dans la mêlée générale, il est délicat de tirer des enseignements, mais dans le tourbillon décibellique, on sent une placidité enjouée, un émerveillement ironique et le désir de bien faire.
Est ce bon ? difficile de répondre la bouche pleine.
Est ce cher ? 48 euros pour quelques barquettes ; je ne sais pas quoi penser…
Faut-il y aller ? ça vous dit ?!
Rosa Bonheur, parc des Buttes-Chaumont, 75019 Paris (01.42.00.00.45)est-il besoin de préciser qu’on ne prend pas de réservation, qu’il n’y a pas de voiturier, ni de vestiaire, ni de caves à cigares et de rince doigt.
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Dernier croque note paru dans le Figaro de samedi dernier...
Avant que la terre ne nous tombe sur les pieds, il y a d’autres façons de bouffer les pissenlits que par leurs racines. Avant que nous nous trouvions englués dans un déluge visqueux, on pourrait pactiser avec la planète. Juste un petit peu. Vous voyez déjà le tableau ? La Seine engorgée jusqu’à Notre Dame, la Tour d’Argent salie, une école primaire ensevelie sous une purée bitumeuse. Le SAMU nettoyant au white spirit nos petits bouts de chou. Houla, ça ferait moche dans le tableau. Ce n’est pas pour demain, juste après-demain. Alors, en attendant, sans pour autant y aller en vélo à vent, il existe des tables dédiées à la nature, une sorte d’ode jouissive, désarmante de candeur ; un hymne soyeux (et joyeux), un truc à vous faire sangloter, à repartir pieds nus psalmoniant comme les prophètes de Tintin (l’Ile bleue). Ce restaurant s’appelle L et Lui. Il est situé dans la jolie commune de Saint Paul Trois Châteaux, à une petite heure au nord d’Avignon ( 2, rue Charles Chaussy, ; 04.75.46.61.14 ;letlui.com). Ce restaurant n’est pas une table bio, rassurez vous. On y mange aussi de la viande, du poisson. Mais il y a deux dingos passionnés de jardin (Cathy) et de cuisine (Cédric). Du reste, c’est inscrit sur la façade : Cathy Jardine…Cédric Cuisine. Menu hyper simple réalisé au jour le jour, le marché et le jardin. Il suffit de dire ce que l’on n’aime pas (les yeux de tortue, la cervelle de chat, les ongles de lama) et le chef fait le reste. Les intitulés sont à vous faire sortir le dictionnaire botanique. Comme une planète enfouie, disparue (la nôtre, ouin !) ; une poétique irrésistible où conversent l’aspérule odorante, l’ache des montagnes… arroche bon Henri, papal, pigamon, anis vert, chardon marie, cerfeuil musqué, tomates des Andes, monarde pinctata, dracocéphalum, coriandre mexicaine, les perilla vert et rouge, le bisaap, la baselle, les capucines. Quel défilé délicieux. Je serai bien incapable de vous répéter le nom des plats. Ils appartiennent à un sabir enrubanné. Les noms sortent de la bouche de la patronne comme des sortilèges. Au final, c’est bon, on se sent comme végétal, une bonne pâte. On est comme possédé. On voudrait que ce restaurant devienne une nef, nous emmène loin, nous retire de ce monde qui nous donne les chocottes. Même l’addition vous laisse sur votre petit nuage : 22 euros avec deux plats malicieux et si jolis. Lorsqu’on ressort, on se fait des promesses. Le corps donne la leçon à la tête. Il serait bon d’écouter notre estomac. La panse pense.
Deux mots pour évoquer la disparition de Lucien Vanel, qui fut le premier restaurateur de Toulouse à obtenir "deux étoiles"en 1977. Il est décédé à "la veille de ses 82 ans". Je lui dois mon premier choc gastronomique : une truffe en croque au sol avec un verre de montée de TonnerreRédigé à 09:41 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Bof, je suis allé au nouveau restaurant de Nicolas le Bec dont on parle beaucoup. Pas mal, mais prévisible. Pas de frisson, juste une application de pro. Dans un nouveau quartier encore tout frais sorti son emballage, une carte marketing avec des produits de brasserie améliorée et pas dénuée d’habileté : dorade royale en tartare (12,80 €, onglet de bœuf Black Angus au feu de bois (19,50€)., baba au rhum crème fouettée (7€)
43, quai Rambaud, 69002 Lyon (04.78.92.87.87). Fermé lundi. Pratique, mais est ce une qualité pour un restaurant ? (photo F.Simon).
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En Mets fais ce qu’il te plait, désarmant
C’est un petit restaurant brut de décoffrage avec son confort aléatoire, son désordre familial et parfois des lenteurs exaspérantes, mais bon sang lorsque arrive l’assiette de Ishida Katsumi, c’est un éclair dans le ciel : plats flagrants et poussant au plus vif : asperges et calamars, pigeonneau, pintade aux champignons des bois, joues de porc confites au pimento de Vera, moeleux aux pommes …
43 rue Chevreuil, 69007 Lyon (04.78.72.46.58). A partir de 17 € au déjeuner. Fermé samedi et dimanche.
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Cette balade à Lyon devient vraiment bonne avec des adresses comme ce restaurant tenu par des Japonais réalisant une cuisine locale. C'est souvent comme cela que les cultures fusionnent en beauté... Je n'y vois que tact et ravissement...
L’un de nos coups de cœur lors de cette promenade pour la cuisine exquise et pleine de tact d’Akira Nishigaki : canard rôti aux girolles parfumé de sauce marsala au yuzu. Accueil adorable et décor paisible de petit restaurant appliqué.
23, rue Royale, 69001 Lyon (04.78.27.23.37). Fermé dimanche Formule à partir de 14 €.
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Vous avez à faire ici à un chef de haut vol formé par Jacques Maximin, autant dire que les plats filent droit au firmament (ainsi que les prix) : grosses asperges blanches du Lubéron rôties et confites en cocotte morille jumbo farcie homard breton févette, jus de tête et sabayon de champignons dorade royale "4,5kg" pêche petit bateau, cuisinée aux légumes acidulés. Service inégale à l’instar d’une clientèle balançant entre amoureux et table <intensive> en bras de chemise. A noter, le taxi est offert pour le retour sur Lyon.
3, avenue du Casino, 69260 Charbonnières-les-Bains (04.78.87.79.79). Ferme dimanche et lundi. Comptez 120 €.
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En une formule au déjeuner deux fois moins chère qu’un plat dans un restaurant "en vue", on comprendra le joli succès que se taille ce restaurant tenu par un couple adorable : pressé de lapin, pavé de truite et sa ratatouille de légumes ;desserts extra comme le café liégeois ou le baba au thé matcha. Ambiance plaisante, cadre coquet.
11, rue des Augustins, 69001 Lyon (04.72.00.88.01) Fermé samedi dimanche. Comptez 38 €.
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Alexandrine Roy, à Gevrey Chambertin, la vidéo de présentation ici: http://0z.fr/BhwXG
J’avais déjeuné chez Shu (8 rue Suger, 75006 Paris. Tél. : 01 46 34 25 88), un samedi de mai 2008, j’avais trouvé ça (un menu bento) pas mal, mais pas extraordinaire. Je suis repassé devant il y a quelques semaines et noté quelques petits changements sur leur carte (visible aussi sur leur site web).
Après environ deux ans d’ouverture, il semble qu’ils aient trouvé leur rythme de croisière. Depuis la rentrée de septembre 2009, ils sont fermés tous les midis, et ouverts le soir, du lundi au samedi, de 18h30 à 23h30. Dorénavant, ils se consacrent pleinement aux kushiagé (bouchées de légumes, crustacés, viandes panées, accompagnées de sauces), alors qu’ils proposaient d’autres choses à midi.
ZenZoo Foodi, atelier de cuisine, traiteur
2 rue du Nil, 75002 Paris.
Tél. : 01 45 08 48 28.
Après un aperçu de spécialités chinoises de Hong-Kong en mai dernier, le programme du cours de cuisine Zenzoo Foodi auquel nous participons cette fois-ci, tourne autour de la cuisine japonaise, et est intitulé « Bien-être : les secrets d’une belle peau (façon classique japonaise)« .
Au menu de cet atelier animé par Miki Nakajima : boulettes de tofu au poulet et gingembre à la sauce teriyaki, cubes d’avocats à la neige de radis blanc, crevettes parfumées au citron et riz aux shiitakes et aux marrons (Takikomigohan).
Aki (Okonomiyaki)
11 bis, rue Sainte Anne, 75001 Paris.
Tél. : 01 42 97 54 27.
Retour rapide chez Aki, rue Sainte Anne, à l’occasion d’un diner avec O et E. Et l’on s’aperçoit que l’esprit est le même que pour les Hiroshima Yaki, mais que les ingrédients utilisés diffèrent légèrement (pas de nouilles fines rue Ste Anne). C’est un commentaire laissé ici, sur l’ex Umami, qui m’a donné envie d’y retourner. Ok, le fait qu’E habite presque juste en face n’est pas innocent…
Arrivé alors qu’O et E avaient déjà commencé (une saleté de bug dans un modèle de document), j’obtiens sans trop de problème que nous nous installions au bar, avec trois place côte à côte.
Quelques sites et blogs que je suivais nous ont quittés en 2009. Parmi eux : Lire la suite de l'article C’est fini pour eux : CECJ, FoodGeek… mais la relève est là!
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Chez Miki, restaurant japonais
5 rue Louvois, 75002 Paris.
Tél. : 01 42 96 04 88.
Déniché sur le Fooding (« mine de rien, une des meilleures adresses du quartier« ), on parle aussi de Miki sur TimeOut, dans les Cahiers de Paris. Nous n’étions pas loin d’une dizaine d’anciens Supélec du Campus de Rennes (D3), cet avant-dernier soir de décembre 2008, à nous serrer autour de plusieurs tables mises bout à bout. Lire la suite de l'article Diner chez Miki (cousine de kipu?)
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Yen, restaurant japonais.
22 rue Saint Benoit, 75006 Paris.
Tél. : 01 45 44 11 18.
Pratiqué occasionnellement, c’est au Yen que j’ai découvert les soba et plutôt aimé ça, même si le bruit de succion, pour gober ces nouilles, me dégoute.
Diner avec O, adresse un peu choisie à la dernière minute, et sur un malentendu (ce que l’on découvrira après coup). À propos de malentendu, notre table a été donnée à d’autres, mais, heureusement pour eux, ce n’est pas complet et nous serons relocalisés sans problème notoire.
Je démarre avec une bière yebisu sapporo (5,5€), qui semble réellement provenir du Japon et qui a été mise en bouteille là bas (contrairement à d’autres marques japonaises brassées et embouteillées en Europe). Bière assez standard qui se boit sans forcer… Lire la suite de l'article Yen, rue Saint Benoit, 75006 Paris
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Guilo Guilo, restaurant japonais
8 rue Garreau, 75018 Paris
Tél. : 01 42 54 23 92. Site Web.
Avant même l’ouverture, certains en parlaient. Beaucoup en ont parlé, mais ce n’est pas sur que tous y soient allés. D’autres y sont allés, mais n’en disent pas grand chose, si ce n’est le minimum… Parfois, un dessin suffit. François Simon trouve l’adresse bonne, mais pas exceptionnelle. Sur Qype, deux avis lui donnent 4/5.
Le FigaroScope en a parlé à plusieurs reprises (3 coeurs, tables les plus courues, classement pipeau). Anousparis aime bien. Pour le Fooding, c’est la « claque de l’année« . Caroline Mignot a failli succomber à un attentat au wasabi, mais, à part cet écueil, a aimé l’esthétique de l’endroit. Julie Gerbet, de l’Internaute, n’y résiste pas.
Sushi Shop La Boétie
59 rue La Boétie, 75008 Paris.
Tél. : 01 56 88 05 06. Site Web.
Un peu avant 14h, je vais me commander à manger. Des makis aux radis marinés (3€), des california rolls : TNT, Sunset et Malibu (4,5€/lot). Ce qui fait 16,5€. TVA à 5,5%. J’ai l’impression que c’est sensiblement le même prix si l’on mange sur place ou si l’on se fait livrer.
Même si leurs sushis ne sont pas mauvais (sans être forcément bons, disons que c’est à peu près correct), ce modèle économique me dérange, puisque cela veut dire, en gros, que l’on se fait « couillonner », puisque l’on paie autant pour moins de services. Dans certains adresses du même type, il y a une réduction (10%) sur le prix à emporter. Rien chez Sushi Shop, donc j’irai voir ailleurs, finalement!
C’est le lieu historique de St Tropez, fréquenté par Garbo, Sagan et Christian Marquand. La plage du même nom est juste en dessous. La terrasse pour le déjeuner a du charme et Simone Duckstein y accueille avec coeur. Chère Simone, qui circulez en ville en mini moke, ne vous inquiétez pas: nous arrivons. Nous irons ensemble voir les toiles de Jacques Cordier sur les murs et refaire le monde comme l’histoire du village…
J’oubliais de dire que que Simone a publié un livre délicieux: « Hôtel de la Ponche, un autre regard sur St Tropez », aux éditions du Cherche Midi, qui fait revivre la saga de Sagan, Chazot, Bardot, Annabel et Gréco, et, bien sûr, conte l’histoire de sa demeure, ancien café de pêcheur devenu halte chic et mythique. Avec ses exquises photos en noir et blanc et une jolie préface de Jim Fergus.
Sans omettre de dire du bien de son joli « menu de Provence » servi au déjeuner en terrasse à prix gentils. Proposant tarte fine au chèvre et basilic, brouillade d’oeufs froide à la tomate, supions aux poivrons ou souris d’agneau confite. Bref, un moment de bonheur simple à la mode d’avant.
La Ponche, port des Pêcheurs/3, rue des Remparts, 83990 St Tropez. Tél. 04.94.97.02.53. Ch. 250 €. Le menu de Provence: 26,50 €.